La chaussette à cocotte
Puisque tout est histoire de saison, c’est au printemps que les moutons font peaux neuves. Après les tontes, il y a un gros travail de récolte et nettoyage, qui petit à petit se transforme en produit fini, tel que le feutre.
Nous espérons un réassort en septembre, d’ici là nous mettons en pause la vente de notre chaussette.
Contactez Cynthia pour pré-commander votre chaussette :
Une production locale avec des valeurs identiques à FAIRE.
Éleveurs, feutriers, potiers, une association de savoir-faire. Grâce au feutre, on limite l’encombrement tout en garantissant une super isolation. La chaussette est réalisée en 3 morceaux - le dessous de plat, le corps « ajustable » et le chapeau. Quand vous ne l’utilisez pas, roulez-la comme une chaussette !
Note importante c’est un matériau naturellement ignifugé, mais si la casserole est trop chaude, le feutre peu « roussir ».
Les éleveurs : Julia Delaunay et Thomas Rabu, respectivement bourrelière-maroquinière et paysan-boulanger, sont installés sur les bords de Loire à Varades (44). Pour penser son activité, Thomas cultive ses céréales qu’il transforme lui-même en farine pour fabriquer du pain au levain naturel, cuit au feu de bois. Les brebis, des solognotes, entretiennent les prairies et équilibrent les cultures. Tout étant lié, la tonte des moutons est transformée en laine, nettoyée puis feutrée et devient dans l’atelier de Julia de superbes chaussons - @delaunay_julia
Les feutrières : C’est dans l’atelier de la Ferme à Laine, en Bretagne, que les toisons sont transformées -lafermealaine.fr
Les grosses filatures françaises ont peu à peu disparu, mais grâce à des collectifs paysans, soucieux de valoriser toutes les facettes de leur métier, de petites structures naissent, privilégiant la qualité à la quantité.
Pour aller plus loin, n’hésitez pas à lire l’article de Reporterre « Partout en France, éleveurs et filateurs font renaître la filière laine ».
